Francia – Germania
Ce Vendredi, 17:30 (L’Equipe Live)
Arrivé en mars dernier, Andrea Giani a rapidement pris ses marques au sein de l’équipe de France de volley. Pour ses premiers pas en competition, la selezione italiana ha vinto la Ligue des Nations, avant de se pencher sur le « vrai » test de l’année, le Mondial en Pologne et en Slovenia (26 agosto – 11 settembre).
Giani connaissait bien l’équipe de France avant de succéder à Laurent Tillie, può essere un passaggio espresso di Bernardinho. « Quand il était entraineur de la Slovenie ou de l’Allemagne, il a souvent côtoyé l’équipe de France. Il a vu notre manière de funcción, notre style de jeu, ça l’a aidé », estime l’Alsacien Benjamin Toniutti.
Et c’est avec cette connaissance qu’Andrea Giani tient à faire de ce Mondial une réussite, pour permettre à la France de rester dans les meilleurs Nations mondialis. « Su connait l’histoire de cette équipe qui montre toujours qu’après un grand résultat il ya une grosse défaite. Là c’était l’époque pour toute l’équipe de trouver la solution, l’harmonie et la concentrazione », esplica le sélectionneur tenant à ce que chaque joueur se sente utile à l’équipe.
«Andrea a vraiment envie de préparer chaque joueur à être disponibile in un momento aux Championnats du monde, pour donner de la confiance à tous les joueurs. On peut avoir besoin de tout le monde, pour un set, pour un point, pour un match, pour renter sur une demi-finale sur un jeu cool… C’est son état d’esprit de sensibiliser tout le monde », détaille d ‘ailleurs « Totti » en référence aux match des Bleus en « VNL » o en amical contre le Brésil, où tous les joueurs ont eu le même temps de jeu sur le terrain.
Il adhère à la culture française
L’arrivée de Giani au sein de l’équipe de France a également, et surtout, été facilitée par son rispetto per il gruppo unico. « C’est une culture. C’est important de la comprendre quand su arrive dans l’équipe. C’est sa manière de vivre et elle ne doit pas changer son identité, c’est ce qui la caracterize. C’est à moi de comprendre cette mentalté et de les aiutante à progressir », s’amuse d’ailleurs à filosofo l’ancien volleyeur professionnel, qui s’est également entretenu avec le coach historique, Laurent Tillie. « J’ai beaucoup parlé avec Laurent (Tillie) ma c’était piuttosto pour comprendre l’histoire des joueurs et du staff. »
Et sur le terrain, ce sont des joueurs avec le même panache qu’avant que l’on retrouve. «Il rispetto per la notre groupe et notre identité, il nous a laissez Certaines libertés, et c’était importante pour nous. Altrimenti non funzionerà. Il faut qu’on nous laisse nous exprimer sur le terrain », explique d’ailleurs Jean Patry, soutenu par l’un des rookies de la sélection, Benjamin Diez. « Il nous fait très bien travailler et en dehors du terrain, il nous laisse vivre correctement. En plus, première competition et premier titre c’est l’ideal pour lui ; tout le monde adhère».
« C’est le coach parfait pour nous »
Andrea Giani e l’opportunità di coacher alcuni gioielli francesi in Italia come Earvin Ngapeth e Jénia Grebennikov a Modène o encore Trévor Clévenot a Milan. Et le libéro ne tarit pas d’éloge envers son sélectionneur : « C’est le coach parfait pour nous. Il arrive bien dans la lignée de Laurent (Tillie) parce qu’il nous emmenés au haut niveau, il nous a fait gagner et Giani permet nous de rester au haut niveau. C’est un très bon coach. Il est là pour nous guider pour Paris-2024 », racconta Grebennikov qui apprèce particulare l’ouverture d’esprit de son nouveau sélectionneur. « Il est très ouvert, il sait de quoi su un besoin, il comprend notre lassitude en tant que joueur de devoir travailler l’été après une longue saison. Il ya beaucoup d’échanges avec lui. Il n’est pas là pour nous embêter».
Les trois joueurs maîtrisant parfaitement la langue italienne et servent generalment d’interprètes auprès de certes coéquipiers qui seritant un peu plus novices dans ce domaine. «Le fait qu’il parle italien comme d’autres joueurs, la connexion s’est fait rapidement», ha osservato Benjamin Diez, arrivé en équipe de France à l’été 2021. Et s’il ne parle pas italien , cela ne l’empêche pas de comprendre les consignes de son sélectionneur sur le terrain. « Il ya toujours quelqu’un qui fait la traduction. Après, l’italien est assez facile à comprendre. Même si je suis un peu limité dans les échanges, on se comprend et quand il ya quelque ha scelto d’important à se dire, on le fait ».
« La comunicazione è più importante della tecnica »
Per Andrea Giani, cette communication est primordiale pour faire appliquer ses méthodes de travail. « Ça me permet d’être très direct avec mes joueurs », confie-t-il, même si, quand il veut être sûr d’être précis dans ses explications, il « parle en italien et Toniutti (Benjamin), qui comprend super Bien, va traduire pour moi. La comunicazione è più importante della tecnica. » Et maîtrister l’italien pourrait même ouvrir quelques portes à certis tricolores selon Jénia Grebnnikov. « Ca pose problème à 2-3 jours mais ce n’est pas très compliqué. Et ça leur permettre de postuler en Italie».
À défaut de maîtriser la langue, les Français s’habituent égaleme à la technique italienne leur consentendo loro di acquisire de nouvelles méthodes de travail dans leur quête de l’excellence. « II a apporte sa touche italienne avec les analysis vidéos, comprendre comment, où et sur quoi on peut s’amelioreur, avec les statistiques aussi. Ça nous fait découvrir de nouvelles Chooses», analizza le pointu Jean Patry.
Cette confiance qui se construit « jour après jour » entre l’Italien et ses joueurs pourrait se consolider davantage en cas d’une campaign mondiale réussie. Les Bleus n’ont plus qu’à se lancer.
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