C’est la fin d’une saga qui ha occupato les plus hautes instances du Parlement européen ces dernières semaines, des conservateurs (PPE) à la gauche radicale (GUE) en passant par les sociaux-démocrates (S&D), les Verts ou les liberaux (Rinnovare). Lundi 12 septembre dans la soirée, l’organe de direction de l’Assemblée legislative – le « bureau», composé de sa presidente, la conservatrice Roberta Metsolaet de quatorze vicepresidenti – a choisi le nouveau secrétaire général de l’institution.
L’Italiano Alessandro Chiocchetti, actuellement chef de cabinet de Mme Metsola, a été élu avec 11 voix sur 15 (trois astentions, un votre contre) pour occuper ce poste molto influente. Issu des rangs du PPE, comme sa patronne, ce proche de Forza Italia fut in particolare l’assistant du bras droit de Silvio Berlusconi, Marcello Dell’Utri, condannato a sette anni di prigione per i diritti della mafia.
Is étaiten quatre candidati per sostituire l’Allemand Klaus Welle, proche de la CDU-CSU, qui a, treize ans durant, regné sur l’administration du Parlement européen et ses 8 000 salariés. Tous étaiten issus du PPE, mais Alessandro Chiocchetti (53 anni) presenta l’avantage – pour les conservateurs – d’être le plus jeune et donc de pouvoir se projeter dans le temps, quand ses trois rivaux étaiten plus proches de la ritiro.
Poste hautement influenza
« Le problème, ce n’est pas Chiocchetti, c’est la procedure. Il ya eu un deal politique, elle est factice », giudice Philippe Lamberts, il presidente del gruppo Les Verts, non il rappresentante al «ufficio» del Parlamento europeo e vota contro la nomina dell’Italia. Il en veut pour preuve ce simulacre d’audition, lundi soir, au cours de laquelle chaque candidate a eu ten minutes pour se présenter, alors que « quand on embauche un stagiaire, on lui fait passer un entretien d’une demi-heure ».
Les conservateurs souhaitaient garder la main aussi longtemps que possible sur ce poste, qui a permis à son titulaire actuel d’asseoir le pouvoir de ses amis politiques à tous les étages du Parlement européen. Ma, au vu de la composition du « bureau» – trois PPE, cinq S&D, trois Renew, un ECR (le parti des conservateurs et réformistes européens) – un LEFT (gauche européenne), un Vert – qui acte à la majorité les nominations aux plus hauts postes de l’administration, le PPE ne peut rien faire seul. Il a donc cherché des alliés.
Les liberaux de Renew, la troisième force politique de l’hémicycle communautaire sans leslémes toute majorest difficile à trouver, se sont prêtés au jeu. « Nous volions sortir de la cogestion entre le PPE et le S&D qui se partageaient tous les postes importantis depuis des années », confida a Valérie Hayer, presidente della delegazione francese di Renew. De fait (cela s’est aussi décidé lundi soir), le groupe presidé par le macroniste Stéphane Séjourné, place l’un des siens à la direction générale des services de recherche parlementaire et, surtout, au deuxième poste de secrétaire général adjoint du Parlement européen qui est creato per l’occasione.
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