Nozanin un 67 ans. In Iran, era un’infermiera. Elle évoque quarante-trois années difficilis à vivre. Où, parce qu’elle était une femme, elle avait interdiction de soigner un homme. Parce qu’elle devait porter le voile. Perché quattro membri della sua famiglia sono stati uccisi dal regime. Parce qu’elle était conviniente que les suivants pouvoir être son mari ou son fils…
Autant de raisons qui l’ont convincée de fuir il ya trente ans. Direction la Norvège puis la Côte d’Azur où elle vit depuis ten ans. Sur la place du Palais-de-Justice de Nice, Nozanin arbore un drapeau de l’Iran en guise d’écharpe. Sous un petit barnum blanc, elle et d’autres expatriés se relaient depuis mardi et jusqu’à aujourd’hui, de 8 à 20 heures.
Un sit-inuna manifestazione simbolica. “Per sensibilizzare l’opinione pubblica”, esperre Mahyar, 24 anni, un étudiant qui ne veut pas rentrer in Iran. Où la jeunesse s’est sollevata contro un regime qui n’hésite pas à tirer sur son peuple. À coups de cartouches de fusils à canon scié produites ici, “in Francia e in Italia”dalla società Cheddite.
Mahyar se demande “Comment c’est possible? Comment ces cartouches ont pu arriver en Iran en dépit de l’embargo de l’Occident?” Tout ce que savent Mahyar, Nozanin et les autres c’est qu’elles tuont. Mostra le radio delle vittime criblées de plomb, le foto degli amorces retrouvées dans les rues de Téhéran. Nozanin, l’infirmière, se met à pleurer: “À chaque fois qu’ils tuent un enfant lors d’une manifestazione c’est comme si on me prenait mon propre fils.”
À 67 ans, elle esperre “vivre assez longtemps pour voir l’Iran enfin libre.”
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