Marzo 29, 2024

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“La Repubblica” rend hommage à son fondateur decédée, monument du journalisme italien

C’est un choix editoriale forte. Au lendemain du jour où l’Italie a vu figlio presidente del consiglio demissionneret ainsi plonger tout un pays dans l’incertitude, La Repubblica una scelta de ne pasmentner Mario Draghi sur sa une. Ce 15 juillet, cet honneur revient entième à Eugenio Scalfari, l’homme qui a fondé ce journal progressiste en 1976, decédé la evell à l’âge de 98 ans.

“Merci direttore”, salue soberment le quotidien romain sur une feuille blanche, avant de consecracer pas moins de 24 pages à ce véritable monument de la presse italienne, qui a également cofondé un autre titolo emblematique de la gauche transalpine, l’ebdomaire d’investigation L’Espresso.

L’hommage du pape François

Dans l’avalanche d’articles sur ce père fondateur du journalisme moderne italien, de nombreux personnages célèbres ont laissez une pensée pour Scalfari, dont le plus illustre est sans doute le pape François.

“Nos entretiens étaiten toujours plaisants et intenses. Avec lui, les minutes s’envolaient, marquées par une confronto serene de nos opinioni, écrit le Saint-Père. Il se professait non creyant, mais nous parlions de foi et de laïcité. Je garde le souvenir d’un homme avec une capacité straordinario d’écoute, toujours à la recherche d’un sens ultime à donner aux événements et de témoignages qui pouvoit arricchire la comprensione de la modernità.

“Un journal peut se sentir orphan”

Eugenio Scalfari était en Italie l’apôtre d’une gauche réformiste (parfois taxée d’élitisme), qui a imprimé à La Repubblica cette marque de fabrique si particolarielle. Une âme qui va lui survivre, écrit Ezio Maurodirettore della rivista ufficiale dal 1996 al 2016 :

«Un journal peut se sentir orphan, quand son père décède. Mais un journal a un caractère, une nature singulière, qui, si elle est rispetto, rend tout coherent, jour après jour, année après année. L’âme de ‘La Repubblica’, c’est le véritable héritage de Scalfari, un titolo dessiné à son image, libre dans sa conscience et dans ses choix. Car le vrai fondatore est celui qui creé quelque ha scelto, et qui le laisse continus pourivre seul son chemin, fidèle à son idée de liberté, pour qu’il puisse survivre à son départ.

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