Dicembre 7, 2023

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Il governo italiano revient en partie sur sa guerre contre les paiements électroniques

Pubblicato il 19 dic. 2022 alle 16:03Misàjour le 19 dic. 2022 alle 16:14

Giorgia Meloni ha rinunciato al regalo di Natale destinato alla sua clientela di elettori, les petits commerçants et les chauffeurs de taxi en tête. Suite aux critiques de la Commission européenne, la présidente du Conseil supprime du budget 2023 La norma che consente di rifiutare i pagamenti digitali in Italia pour tout montant inférieur à 60 euro.

Guerre declarée aux paiements numériques

Il governo italiano ha corretto il provvedimento più emblematico ma anche più controverso della sua legge finanziaria. Il souhaitait favorisce la consumazione facilitando i pagamenti in espèces et octroyer aux commerçants le droit de rifiutare la carta di credito pour tout montant inférieur à 60 euro.

Il governo di Mario Draghi avait au contraire obligé les commerçants à accepter les paiements électroniques pour des montants inférieurs à 60 euros, sous peine d’une mende de 30 euros, a cui s’ajoutaient 4 % du prix de la transaction. Cette mesure, que le nouveau gouvernement voulait annul, reste donc en place.

Il relèvement du plafond pour les règlements en espèces de 1.000 à 5.000 euros proposto da Giorgia Meloni è in revanche maintenu. Pour les économistes comme pour l’opposition, c’est une véritable marche arrière après l’opportunité rappresentato da le Covid pour développer les paiements électroniques.

Des mesures qui favorisent l’évasion fiscale

“Des seuils plus élevés pour les paiements en liquide favorisent l’économie souterraine, avait prévenu Fabrizio Balassone, responsabile de la recherche économique de la banque centrale italienne (Bankitalia). Cela rende più difficile la repressione della frode fiscale e va all’incontro con le prescrizioni europee. »

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Il ne faisait qu’anticiper l’avis de la Commission de Bruxelles, qui doit bientôt verser à l’Italie la prossima tranche di 21 miliardi di euro dans le cadre du plan de relance post-Covid. Rome doit pour cela respecter son engagement d’une lutte efficace contre l’évasion fiscale. Celle-ci è stimato in più di 100 miliardi di euro per coloro che occupano il primo posto nella classifica dei pagamenti europei per la frode alla TVA, con 26,2 miliardi di euro non in cambio del fisc.

Les banques en ligne de mire

L’Italia punta a revanche aux dernières place du ranking des pays européens utilisant la carte de crédit. On y registre en moyenne 85 transazioni par carte par an et par habitant contre 156 chez ses voisins . Giorgia Meloni evade le tariffe delle commissioni troppo elevate imposte dalle banche sui terminali di pagamento dei commercianti per i piccoli acquisti. «Il n’est plus tolerable de faire peser sur l’économie une taxe cachée, dans le but d’engraisser les banques, d’espionner le behavior des consommateurs et de faire de l’argent facile», estime la presidente du Conseil.

Elle réfléchit nowreux à l’instauration d’un crédit d’impôt pour sutenir les commerçants. Le gouvernement n’a pas retenu l’idee de parlementaires de sa maggioranza voulant ricorrere a un contributo di solidarietà pesant sur les banques. «Cela serait inconstitutionnel», avait ha minacciato la Fabi, le principal syndicat du sectorer bancaire italien.