En mai 2021, la célèbre Galerie des Offices de Florence (Italie) s’associait à l’entreprise Cinello, avec l’aval du gouvernement italien, afin de reproduire NFT quelques-uns de ses trésors, à beginr par le Tondo Doni (1505 -1506) de Michel-Ange. Mais les nombreuses domande sollevate cette vente ont finalement poussé l’État italien à revenir sur sa decision initiale.
Après mûre réflexion, le gouvernement italien a finalmente deciso de suspendre les ventes de NFT des chefs-d’oeuvre de la Renaissance italienne abrités par ses illustres istituzioni. Cela fait in particolare suite à la vente d’une playback digitale du Tondo Doni (1505-1506) de Michel-Angefruit d’un partenariat entre la Galerie des Offices et l’entreprise italienne Cinello, rendu possible par l’État italien qui, en 2021, avait autorisés ses culturelles à s’associer à des entreprises privées pour generate des NFT, espérant y trouver une nouvelle source de revenus pour des musées grandement fragilisés par la crisi sanitaria.
De l’Ermitage (Saint-Pétersbourg) al British Museum (Londres) en passant par le Belvédère (Vienne) o le Musée des Beaux-Arts di Boston (États-Unis), nombreux sont les musées à s’être engouffrés dans la brèche. En Italie, les Offices avaient donc signé un partenariat avec l’entreprise Cinello et avaient procédé à la vente en NFT du Tondo Doni (1505-1506) di Michel-Ange per la somma di 240 000 euro.
Mais le contrat passé avec l’entreprise dans le cadre de cette vente n’a finalemente rapporté que 70 000 euros à l’institution italienne, selon Il giornale d’artece qui a sans aucun doute poussé le gouvernement italien à revenir sur sa decision et à suspendre les ventes de NFT de ses chefs-d’oeuvre – avant tout dans le but « d’evitar les contrats unjustes », d’après les propos d’un porte-parole di Massimo Osanna, direttore generale dei musei italiani, recueillis par le journal spécialisé.
L’entreprise italienne, dont le contrat avec la Galerie des Offices a scaduto en décembre dernier (et qui prévoyait la vente de 40 riproduzioni digitali), a par le passé create des NFT du Ritratto di un musicista (1490) di Léonard de Vinci o bis della Tête d’une jeune fille (1915) di Amedeo Modigliani et travaille actuellement avec une dizaine de musées italiens. La mèche avait été rallumée en mai dernier quand un articolo paru dans La Repubblica s’interrogait sur l’exploitation des droits numériques du Tondo Doniet donc plus largemente du patrimoine artistique italien.
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