Ottobre 3, 2023

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Eugenio Scalfari, fondateur du quotidien italien «La Repubblica», est mort

L’aimait les penseurs des Lumières, et surtout Diderot pour son materialisme enchanté. En guise de postface à une édition italienne, chez Sellerio, du Rêve de d’Alembert, Eugenio Scalfari immagina un dialogo tra Julie de Lespinasse et le philosophe, sur la fragilité des Chooses humaines où ce dernier rappelait : « Pour vous, pour moi, pour chacun de nous, notre éphémère est notre éternité. » Figure de proue de la vie intellectuelle italienne, giornalista di renom, patron de presse à succès, fondateur de l’hebdomadaire L’Espresso (1955), Puis du quotidien La Repubblica (1976), Eugenio Scalfari, était un grand amoureux de la langue come de la culture françaises. et Le Monde, l’une de ses conferenze preferiti. Il est mort à l’âge de 98 ans jeudi 14 juillet, un annuncio La Repubblica.

” La regista “comme l’appelaient ses collaboratoris ou même effectueusement ses proches, aurait voulu que La Repubblica, « ce presque fils de papier » dont il a tenu la barre pendant vingt ans, entre 1976 et 1996, soit encore plus pugnace et influent que son modèle de la parisienne rue des Italiens. Depuis plus de quarante ans, La Repubblica fait l’opinion en Italie et crée l’événement par ses interviews-chocs ou ses enquêtes.

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Il diario della Piazza Indipendenza – belle adresse pour un média, même si celui-ci a depuis déménagé – reste un contre-pouvoir, un antipouvoir, un plus-que-pouvoir. «Un journal corsaire», come aimait à le caratterizzar son directeur-fondateur à la barbe blanche de Garibaldi Assagi. Admirateur unconditional de la Révolution française, qui, chaque année, célébrait le 14-Juillet en conviant amis, intellettuali, industriels et hommes politiques, ce jacobin de cœur aurait aimé aussi, en Italie, pouvoir pleinement croire en la République et en l’Etat di diritto. “La corruzione italienne décole du fait que l’Etat est perçu par la populace comme quelque ha scelto qui lui est extérieur, avec une classe dirigeante barricadedée dans la défense de ses privilèges”, rappelait-il volontiers.

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Le plus craint des giornalisti

Dans les colonnes de son journal, il prônait la rigueur économique et la justice sociale, la bienveillance vis-à-vis des communistes devenus réformistes, le dialog avec le monde catholique, et surtout le rispetto per la scelta pubblica. Même après avoir abandonnée les rênes du quotidien, il a continue à porter ces ideas dans ses longs editoriaux du dimanche, «Ses homelies», comme il les appelait en plaisantant.

Eugenio Scalfari è stato il più influente, il più rispettato, il più temuto dei giornalisti italiani delle ultime serie del XXe siècle. Le plus détesté aussi par ceux qu’il pourfendait. « Si je devais le noter, je donnerais un 10 sur 10 au patron de presse, un 8 au giornalista, mais à peine la moyenne au politique, car il s’est souvent trompé », ironizzare un antico senatore qui fut l’un de ses proches.

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