Dicembre 7, 2023

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des Bleus à l’accent italien se presentato in favoris

Raramente dans histoire l’équipe de France de volley-ball abordé avec autant de certitudes un campionato du monde, une compétition qu’elle n’a jamais prêtante. « Même si tout peut aller très vite au volley, nous serions déçus si les Bleus ne décrochaient pas au moins une médaille », riassume Laurent Tillie, l’ancien sélectionneur de la France, à la evelle du Mondial, qui se détour du 26 août au 11 settembre en Slovenie et en Pologne. Ces deux pays ont ha sostituito la Russie, qui devait initialement accueillier ce rendez-vous programmé tous les quatre ans.

Guidés par Andrea Giani, leur coach italien, les Tricolores joueront leurs trois match de poule au stade Stozice, à Ljubljana, en Slovenie. Après avoir affronté l’Allemagne pour leur entrée en lice, vendredi 26 août, ils défieront, deux jours plus tard, leur hôte dans une rencontre qui promet d’être incandescente, puis le Cameroun, mardi 30 août. Le groupe est au complet, ou presque. De l’équipe vittorieuse aux Jeux olympiques de Tokyo nel 2021, seul manque à l’appel le centre Daryl Bultor, blessé à l’épaule.

Après avoir corrigé l’Italie chez elle (3-0) en semifinale de la Ligue des Nations, les Bleus ont battu difficilement les Etats-Unis en finale (3 -2), le 24 juillet. Per una partita unica di preparazione per il Mondial, ils ont fait le plein de confiance en étrillant le Brésil, l’un des favoris, par 3 set à 0, le 21 août, a Montpellier.

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Jamais les volleyeurs français n’ont paru aussi forti. A l’image de leurs compatriotes sacré champions du monde de football en 1998 avec plusieurs éléments-clés évoluant en Italie (Zidane, Deschamps, Desailly, Thuram, Djorkaeff…), l’équipe de France a décroché son premier titre olympique en 2021 grâce à une armada de joueurs évoluant, o ayant évolué, dans la Péninsule. « Jouer là-bas nous permet de nous confronter, chaque week-end, aux meilleurs mondiaux », explique le central Barthélémy Chinenyeze, 24 anni, qui a déjà connu trois club en quatre saisons dans la Botte (Callipo Sport, Powervolley Milano et Cucine Lube Civitanova).

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« Jouer en Italie est une consacration »

Come la Top 14 del rugby, la Serie A1 – massima divisione del campionato – attrae talenti da tutto il mondo, anche se il regolamento limita il numero degli stranieri in campo a soli tre per squadra (su sette giocatori). « C’est pourquoi il est aussi difficile d’integrate ce campionato. Pour un volleyeur, jouer en Italie est une consacration. C’était mon rêve! », raconte le libero (joueur qui contribuire esclusivamente in difesa) Jenia Grebennikov, qui a passé six ans dans la Péninsule avant de s’exiler en Russie.

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