Ce petit village italien rêve de devenir indépendant

Dans la province italienne d’Imperia, dans le nord du pays, un petit village de 300 habitants rêve de devenir indépendant depuis 1960. Selon les information de Cnn, lundi 28 mars, la principauté de Seborga a déjà son propre drapeau, son national anthem, son passeport, ses timbres, sa monnaie et sa monarque, la princesse Nina de Seborga. Elle lui manque solo il riconoscimento giuridico de sa souveraineté. Jusqu’à présent, il principato è considerato comme un borgo.

Sur la route qui mène au village, une guérite a été installede, aux couleurs du drapeau de Seborga. Elle est même parfois tenue par des gardes-frontières autoproclamés. Il villaggio è situato su une colline con una vista imprenable sul principato di Monaco, l’un des micro-Etats les plus célèbres au monde et sans doute una fonte d’ispirazione per la vendetta d’indépendance di Seborga. “Les avocats y travailen”, assicura la principessa, qui a été élue. In effetti, la monarchia n’y est pas héréditaire, des élections ont lieu tous les sept ans. Nina è la première femme à occuper ce titre.

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Aucune trace de la vente du village

La revendance d’indépendance remonte au début des années 60 lorsque Giorgio Carbone, che dirigeait une coopérative locale de producteurs de fleurs, s’est penché sur l’histoire de la ville et a remarquez un vide juridique. Seborga a été donnée aux moines bénédictins en 954, jusqu’à ce qu’ils la vendent en 1729 au royaume de Sardaigne, qui deviendra later une partie du royaume d’Italie. Mais, selon Carbone, il n’y aucune trace historique de la vente, ce qui signifie que Seborga n’aurait jamais fait legitiment partie de l’Italie. “Il est difficile de penser que, près de 300 ans plus tard, cette assenza di documentazione soit une base réaliste sur laquelle construire une reconnaissance légale”, ha spiegato Graziano Graziani alla Cnn, un esperto italiano di micronazioni.

La Cour constitutionnelle italienne et la Cour européenne des droits de l’homme hanno già rifiutato l’offerta di Seborga, mais la princesse Nina n’est pas découragée. “Ce n’est evidentemente pas un cas facile”, reconnais-elle. “Cela n’arrivera ni aujourd’hui ni demain, mais rien n’est impossible: considerez la Brexit.” Si Seborga fait ses propres lois, elles n’ont pour le moment aucune valeur juridique, tout comme son passeport ou sa monnaie, et le vrai pouvoir politique est detenu par un maire italien. En attendant, ce village fait parler de lui grâce à cette histoire, ce qui particulier a boosté le tourisme et l’économie locale.