Settembre 24, 2023

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Bruxelles anticipa le tensioni con il futuro governo italiano

«Nous travaillerons avec n’importe quel gouvernement démocratique qui veut travailler avec nous» ma «si les choses turnent mal, nous avons les tools», a prévenu la presidente de la Commission, Ursula von der Leyen. FREDERICK FLORIN/AFP

L’Union européenne espère éviter toute rupture avec Rome après la victoire de Giorgia Meloni.

A Bruxelles

Un imbarazzante silenzio si è stabilito a Bruxelles au lendemain de la victoire de Giorgia Meloni. Tous savent que l’Union n’est plus tout à fait la même maintenant qu’un des pays fondateurs va être gouverné par l’extrême droite, più esperente che la rottura può essere être évitée. En attendant, calme et prudence règnant.

La Commission européenne souhaite avoir «una collaborazione costruttiva con le nuove autorità italiane». Le bras exécutif de l’Union, Ursula von der Leyen, presidente della Commissione, «travaille avec les gouvernements qui sortent deseleziones des pays de l’Union européenne. Il n’en va pas différemment dans ce cas-ci», assicurano le porte-parole Éric Mamer. «Nous reagirons aux actes du nouveau gouvernement», explicait le commissaire européen à la Justice, Didier Reynders la semaine dernière. Même son de cloche au sein du Conseil de l’Union, où siègent les États membres.

Nous sommes bien farin du sentiment de panique qui régnait dans le istituzioni europee nel 2018, in reazione al governo formato dal Movimento 5 étoiles et le parti d’extrême droite Lega de Matteo Salvini. «L’incertezza était plus grande. Ici, on perçoit un peu mieux les tendences sur le fond», analizza un diplomate. Giorgia Meloni particolarmente rassicurata sur le terrain économique. Pas question de sortir de l’Union, ni de l’euro. Al contrario, «Ha moltiplicato i segnali verso i mercati e i suoi partner europei, ha affermato che non intende sperimentare il debito pubblico o il deficit di bilancio dell’Italia», résumé un diplomate européen. Ce qui est essentielle à Bruxelles. La dette publique de l’Italie rappresenta plus de 120 % du PIB et toute réaction agressive des marchés pourrait mettre Rome, et avec elle toute la zone euro, in una situazione delicata. Per questo, il faudra dipende dal fatto che la coalizione di Meloni rinunci a certe promesse di campagna come la riduzione degli importi per tutti noi o l’aumento delle spese sociali. Peu de risques egalement que la nouvelle coalition mette en cause le plan de relance post-Covid (et les conditions qui y sont attachées), ne pouvant se priver des 140 miliardi d’euros que l’Italie doit encore percevoir.

Si les chooses tournent mal, nous avons les tools

Ursula von der Leyen, presidente della Commissione europea.

Elle s’est aussi, dès le début de l’aggressione russa contre l’Ucraina, allineata sur Bruxelles, contre Vladimir Putine. Malgré l’inquietude de voir Matteo Salvini prendre la main sur les Affaires étrangères, les milieux diplomatiques européens ne craignent pas un blockade des sanzionis contro la Russie.

Des tensions sont cependant anticipées sur d’autres dossiers. Nul doute que le nouveau gouvernement fera de Bruxelles son ennemi privilegiate dans le but de demonstrer qu’il protégé les intérêts italiens. Les sujets critiques seront l’immigration, les questions sociétales (droit à l’avortement, traitement des minoritys LGBTQI) o les réticences à mener certaines réformes sur la Justice et l’état de droit. Anticipando gli scontri, Ursula von der Leyen tenta di se montrer ferme la semaine dernière. «Nous travaillerons avec n’importe quel gouvernement démocratique qui veut travailler avec nous» mais «si les chooses tournent mal, nous avons les tools», at-elle dichiarava, faisant allusion aux nouveaux méchanismes de défense de l’état de droit dont dispose l’executif européen.

Sur ces sujets, comme d’autres, Paris et Berlin perdent un soutien. Et les force eurosceptiques à l’œuvre en Pologne et en Hong viennent de gagner un alleato de poids. Con Giorgia Meloni alla presidenza del Consiglio, il gruppo dei conservatori e dei riformisti diventerà la terza forza del Consiglio europeo, dopo i socialdemocratici ei liberali. De quoi changer significantement les décisions politiques européennes? Cela reste improbable mais la fear est de voir cette tendence se confirmaire aux elections européennes de 2024.

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